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Les opinions des autres


Voici quelques remarques de lecteurs du livre, et quelques commentaires de visiteurs du site. Les liens vers les adresses de courriel possèdent des esp a ces qu'il faut ôter.
Vous trouverez aussi des commentaires sur fllj. aller sur http://www.dejanews.com/usenet et taper «maniette» dans la boite. Vous aurez ainsi la liste des messages où l'on parle de ce livre.


M. Maniette : Ca y est ! Je l'ai reçu ! Et il est merveilleux votre livre, merci beaucoup. Ce livre est magique ! Bravo pour votre merveilleux travail ! Incroyable : vous, et les auteurs, avez réussi à me faire comprendre (moi, un ignare en kanji) mon premier kanji : moi ! Au hasard, je regardais votre fichier, et je m'arrête sur «moi». Je remarque que ce signe est formé du kanji CINQ et d'un autre. Je remonte la liste pour découvrir cet autre kanji : bouche. Cinq bouches ? Bizarre... Mais bien normal quand on a l'explication que vous donnez ! C'est toute une philosophie ! Si chaque kanji est expliqué de la sorte, je sens que je vais aimer le japonais. Vos explications sont d'une limpidité incroyable: je connaissais déjà le kanji représentant CINQ, j'ai appris celui de la BOUCHE, donc maintenant je connais MOI, et sans aucun effort. Il m'a suffit de lire votre explication et de m'en souvenir (ce qui est franchement aisé) pour apprendre un nouveau kanji ! C'est MI-RA-CU-LEUX! Encore une fois, merci de tout coeur, et à demain pour la suite de mes commentaires. Une petite remarque néanmoins : il aurait été agréable d'avoir la prononciation de chaque kanji en phonétique pour nous aider. Encore mieux : en hiragana, ce serait parfait ! Christophe CAUVIN

Cher ami, le livre m'est parvenu tout à l'heure. Avant même de le parcourir attentivement, je voudrais te féliciter pour la qualité de l'objet. Belle maquette, élégante et lisible, beau papier, belle reliure. C'est une réalisation remarquable. Benoît PEETERS
Nous avons reçu ton bouquin il y a quelques jours. Ma femme l'a épluché et ne tarit pas d'éloges à son sujet. Personnellement, je le potasserai un peu lorsque j'aurai le temps. En attendant, je vais le conseiller à notre département d'Humanités qui enseigne un cours de chinois débutant. Charles DURAND
Je viens, ce matin même, de recevoir le maniette. Il est beau ce beau bébé et felicitations au papa. Félicitations a vous aussi, souscripteurs du Japon, vous voilà tous parrain d'un beau livre qui nous manquait tant. Une action Scienscope/SEJT s'achève, quelle sera donc la prochaine? Merci encore à tous. Jean-François DESPRÉS
J'en suis à 52. En fait, j'essaie de me donner une heure chaque soir avant d'aller dormir ! J'ai même commencé à faire mes petites fiches de révision et je vais les utiliser dans le TGV dès demain. Pour l'instant, ça se passe bien ! mais j'ai tendance à écrire en même temps, d'abord pour le plaisir (c'est plus du dessin que de l'écriture) et puis parce que la "mémoire musculaire" m'aidera toujours un peu. C'est vrai que quelque part, c'est un peu frustrant de ne pas apprendre à prononcer les kanji en même temps. On a un peu l'impression d'être muet ! Au fait, entre les kanji 47 et 48, la baguette magique, il n'y a pas une erreur d'impression ?? Il semble qu'il manque la petite barre horizontale, non ? Jean-Luc PUTAUX (oui, c'est vrai, il manque la goutte. YM)
Je profite de votre mail pour vous confirmer que votre livre m'est bien arrivé en France, juste 2 jours avant mon départ pour le Japon, cela ne pouvait pas mieux tomber. Je l'ai déjà bien avancé et je le trouve très réussi. "Maniette" ha, Omedetoo gozaimasu. Bien cordialement, Thierry HERVE
Yves Maniette nous avais fait une cachotterie: son livre est déjà célèbre depuis 1997! Il a été immortalisé dans une BD de Boilet/Peeters intitulée "Tokyo est mon jardin" (Casterman, 1997). BD que je recommande chaudement a tous ceux qui vivent au Japon tellement elle est criante de vérité. La personne qui m'a passé cette BD m'a avoué avoir cherché en vain le livre «Les kanji» d'Yves Maniette dont il est question tout au long de la BD, et pour cause... le livre n'est sorti qu'en 1998. Je vous envoie un scan de la page 17 pour vous mettre en appétit. Emmanuel PLANEL
 
Dear Yves, the stork carried in two copies of Kanji dans la tête just an hour ago. Congratulations on a fine piece of work. I know how much it has cost you, and I trust the reception will make it all seem worthwhile. The university wants to order one for the main library, but we don't know how to do it. None of the bookstore sites we normally use had it, and there was no information on the internet site (even though your copyright page gave that impression). I am sure others will ask, so the more information you can give me, the better. How did your "presentation" go in Barcelona?
James W. HEISIG.


Hola Yves, Anteayer nos llego tu libro: ¡quedo buenisimo! Nos dio muchísima alegria recibirlo, y comprobar que este proyecto pudo terminarse de la mejor forma posible. Felicitaciones! Anoche nos tomamos un vino blanco espectacular en honor al libro. Gustavo CASTELLANO

J'ai reçu le «maniette» et le livre blanc pour la SEJT. Merci beaucoup. C'est vrai qu'il est superbe. Merci d'avoir pensé à un livre blanc pour la SEJT. Les gens qui écrivent leurs commentaires lors des journées SEJT ont l'occasion de voir le «maniette.» Bon courage pour la suite. Pour augmenter le «maniette» d'un second volume, vous pouvez mettre les prononciations a côte des kanji, mettre des kanjis composés, et mettre des exemples de kanjis composés ou isolés de la vie de tous les jours (style ceux dans le métro, des nom de villes, des annonces dans le metro ou les restos ...). Bons, mais ces points ont déjà ete discutes sur la liste, plusieurs personnes ont déjà proposé cette idee. Mais ce n'était peut-être pas votre premier objectif ... En tout cas vous y êtes arrivés grâce aux efforts que vous avez fourni. Denis LEGRAND, président de la Société des Études Japonaises de Tôkyô.


Le "Maniette" est bien arrivé. Yves, merci pour la dédicace. Le livre est superbe. Très beau, très agréable au toucher. Un beau livre. Et la couverture! Ah la couverture! bravo à Montse. J'espère avoir l'occasion de vous accueillir un de ces quatre dans ma campagne profonde. Xavier-Marie MARECHAL
 

Jean-Yves Rosaye. Si vous trouvez des erreurs ou inconsistances dans le livre, il est désormais pratiquement inutile de me les signaler, il a quasiment tout trouvé. Il est aussi assez critique, mais comme il le dit lui-même: «qui aime bien châtie bien!». Je ne mets qu'un morceau de ce qu'il m'a envoyé!

Bonjour, je viens de recevoir votre très bel ouvrage. Rien que pour la présentation cela s'achète. Au risque de m'attirer des noms d'oiseau, je continue mes critiques. Vous n'avez pas prévu de plastique pour protéger votre livre, c'est la mode ici, il y a même le carton pour ranger le livre (un peu inutile, il est vrai). Je ne comprends pas le latin à moins que ce ne soit de l'espagnol sur la première couverture, sur la dernière, c'est vous que l'on voit en tout petit? L'idée du labyrinthe de buisson est géniale, cela se trouve où, à Barcelone ? C'est quoi ce sceau, j'ai bien le mien mais en moins étrange. Votre livre est bien plus accueillant que l'édition anglaise de Heisig, pour les rapprochements phonétiques, je me servirai du Henshall, le Henshall qui fournit des explications ou des mnémoniques tirées par les cheveux explique néanmoins bien une multitude de caractères. Je trouve l'idée de classer alphabétiquement par grades de fréquences d'utilisation les kanji assez stimulante, il y a tout de même 1000 kanji parmi les 2000 utilisés bien moins fréquemment. Cela reste des pierres a ingurgiter pour mon cerveau délicat. Votre livre va t-il rendre la tâche plus agréable, j'en suis sûr. Je vais faire un effort d'information tout azimut de votre livre, car là encore la pratique fait défaut, il me semble...tout francophone ne connaît pas le site de ScienceScope, loin de lâ. Enfin qui aime bien châtie bien, comme dit le dicton. Dire qu'on a pas voulu publier votre livre, c'est scandaleux (et votre meilleure publicité).

Ayant fini votre livre -en une semaine- j'ai trouvé quelques autres erreurs.

1- Page 580, il y a un trait d'exclamation inverse en trop à la dernière phrase de votre livre, ca fout mal!
2- Page 436, cadre 1915, vous écrivez "demant" a la place de "demandant".
3- Page 404, cadre 1747, il y a un n de trop au mot "moyennant".
4- Page 368, cadre 1561, Tintin n'est pas une femme a ce que je presume, donc "revêtu" est sans e final.
5- Page 353, cadre 1485, un trait d'union manque a "anti-nourriture".
6- Page 349, cadre 1458, "frappez" avec un "z" et non un "r".
7- Page 313, cadre 1253, il manque un point d'interrogation.
8- Page 243, cadre du composant, il manque le e au mot "comme".
8 1/2- Page 143 vous rapetissez le composant "raccommodage" pourtant celui de "zoo" est a la taille normale, sachant la difference qu'il y a entre courroie et bonnet par exemple, vous donnez donc une forme "rapetissee" au kanji, ca fait pas joli par contraste (bon, je vous octroye une simple demi-erreur). Au fait Dupont a t'il un "t", un "d" ou un "dt" comme vous avez mis à la page 262 ?
9 1/2- Page 113, cadre 286, le feu passe au vert et non au bleu, a moins que vous n'adoptiez le bleu-vert japonais.
9 1/2- Page 385, c'est quoi vos informations en page 385? C'est un jeu de mot? Dans le doute...

Des remarques de fond:

1) D'abord les notions radical, composant, sésame, kanji se mélangent allègrement dans votre livre. Il y a des composants qui sont des radicaux tout en étant des kanji et des sésames, d'autres n'ont pas la petite étoile mais sont dits composants (coquillage, posséder...), d'autres utilisés largement comme radicaux ou composants mais qui ne sont pas décrétés comme tels. Il règne un flou artistique d'autant plus que vous n'avez pas fait figurer une table de vos «radicaux» si appréciable dans tout dictionnaire de kanji (votre page de garde aurait pu la contenir).

2) Ensuite vos explications sont tres personnelles comme tout travail de l'imagination, créatif, quand vous expliquez correctement certaines references, c'est OK, pour d'autres, on s'efforce de deviner...Et quand pour seule explication, on doit chercher à créer une image, c'est quelquefois facile certes et aussi quelquefois difficile: s'il vous plait, aidez-nous au chapitre quarante-six (assembler, universel, effile, inhabituel, aile, inondation)! Je suis désolé en outre de n'avoir pas compris vos explications des caractères 2028,1887, 1850, 1730, 1302, 1261, 1260, 1250, 1243, 1203, 1127, 1096, 1035, 985, 979, 953, 943, 910, 876, 573, 572, 560, 448, 213 qui m'ont semble absconces, abstrutes et sybillines bref

3) Par ailleurs, si vous faites deux regroupements intéressants des mesures et des signes astrologiques chinois, regrouper les kanji de forme humble ou respectueuse pour dire donner, aller aurait été très utile, c'est assez délicat à comprendre en effet (et à retenir). Par contre le caractère 997 de grandeur d'âme, on retient même si vous nous faites miroiter un trésor sémantique. J'ai énormément apprécié vos emprunts à la physique, la chimie ou la technologie. Je me ferai mon regroupement dans ce domaine, les explications de la dualité onde-corpuscule (rayon), du chaos déterministe (vent), de la robotique (métier a tisser) , du champ (aire) ou du complexe chimique (embrouillé) m'ont paru les plus éloquents. Bien sûr il y a aussi le principe d'Archimède, la cristallographie, la fluorescence X, la diffraction, les fibres optiques, les phénomènes vibratoires (souvent décidément)...

4) Enfin merci d'avoir laissé un index des prononciations des caractères, c'est utile en pratique, il manque juste ce fameux index des "nouveaux radicaux", 300 a 320 (avec ceux auquels vous n'avez pas mis d'étoile). J'ai trouvé une explication 100% Henshall! Page 245, le composant «Poison Violent», du décalque pur.
C'est rigolo. Hubert Luce: histoire d'un apprentissage. Souvent les lecteurs sont sceptiques au début, puis ils constatent que cette méthode leur permet d'apprendre à une vitesse insensée.

Premier contact... Bonjour, j'ai lu avec intérêt le site web dans lequel se trouve les deux premiers chapitres de votre livre. Je suis actuellement au Japon et pour un moment encore. Je suis donc tres intéressé par l'apprentissage des caractères chinois. Votre méthode me semble intéressante même si les analogies semblent elles-memes parfois un peu tirées par les cheveux, mais je comprends fort bien qu'elles le soient compte tenu de la complexité de la chose. Il s'agit d'un travail remarquable et sûrement très utile! Je voudrais savoir comment obtenir ce livre au Japon et en particulier a Kyoto, puisque j'y reside. Je vous remercie de votre attention. Hubert Luce

Un peu plus tard... J'ai reçu votre livre. Comme j'ai commencé a l'étudier, je tenais à vous faire part de mes premières impressions. J'en suis aux 300 premiers kanji mais, comme vous dites, la route est encore longue. Cette technique est imparable et vraiment très efficace. Je suis stupéfait de la rapidité avec laquelle s'assimilent les caractères. Je me confectionne des fiches pour chaque kanji, comme vous préconisez, pour des révisions régulieres. C'est tout à fait jubilatoire... Il faut cependant dire que j'ai déjà une pratique assez importante des kanji, ayant déjà assimilé certains composants et kanji avant ce livre. Cela doit expliquer la rapidité avec laquelle je les apprends (300 kanji en une semaine, ce n'est pas mal, et ce n'est pas de la mémoire visuelle, j'associe facilement les histoires que vous proposez). Toutefois, en admettant connaitre les quelques 2000 kanji de votre livre, il faut encore apprendre les prononciations, connaître les kanji lorsqu'ils sont associés entre eux pour former des mots dérivés etc... Et là, ce n'est pas une mince affaire! Bref, en résumé, merci d'avoir fait ce livre, je connaissais le livre en anglais, mais mon anglais est trop indigent pour pour que la méthode soit efficace. Si je peux me permettre, et parce que j'apprécie beaucoup votre méthode, je souhaiterais vous faire une suggestion pour le kanji «fou» composé de deux éléments: vous proposez l'histoire du loup garou... En fait, on peut plutôt facilement imaginer une «meute de chiens» (1er composant) devenir FOUS c'est à dire perdre la «boule» (2eme composant, mais il manque la goutte car il n'est pas à gauche) à la vue du sang de l'animal blessé. Ce qui est souvent le cas dans les chasses a courre par exemple. Voilà, vous m'excuserez de cette digression et si vous jugez cette histoire utile, je serai ravi de la voir dans une de vos futures versions!! Je vous souhaite une bonne année Hubert Luce

Le 5 janvier 1999
Je vous souhaite une bonne année et bonne chance pour la diffusion de votre livre. Je progresse à grands pas même si je prend plus de temps pour les révisions, histoire d'être sûr de ne pas oublier. J'en suis à un taux inferieur a 1 pour cent d'erreurs... J'ai également une technique infaillible pour me souvenir du kanji «courir» (il s'agit d'une boutade, mais efficace...): Plutôt que de racommoder le sol (le 3eme trait du 1er composant est commun au 1er trait du 2eme), on peut imaginer les composants «racommoder» et «aiguille». Le lien est évident. Alors demandez a un japonais de «racommoder» ses chaussettes, même si sa femme lui donne une «aiguille», vous pouvez toujours...COURIR. Et c'est assez révélateur de la condition de la femme dans la famille au Japon... Mais il vaut mieux éviter ce genre de phrases dans un livre si vous ne voulez pas que votre "chef de corvée" bouscule votre "antiquité"... Hubert Luce

Le 6 janvier 1999
Je fais des fiches qui me permettent de faire des révisions régulieres. Pour le moment, et selon votre conseil, je ne m'embarrasse pas des prononciations. Je verrai plus tard. Si vous voulez, et si ca vous intéresse, j'ai d'autres idées pour certains kanji délicats. Par exemple, j'ai une technique pour me souvenir du kanji «front, montant d'argent». Elle est peut-être dangereuse car elle associe le mot "client" a "hôte". C'est d'ailleurs curieux, car le kanji que vous décrivez comme étant "hôte" est traduit par "client" (kyaku) dans mon dictionnaire. - Si le "client" se fait souvent "hôte" (1er composant) dans une boutique (politesse japonaise oblige), le MONTANT D'ARGENT a la sortie se fait souvent a la "tête du client" (2eme et 1er composant).
PS:les propositions que je fais ne constituent en rien une critique à votre travail que je trouve tout à fait passionnant, amusant tres utile et surtout efficace. Il s'agit plutot de clins d'oeil et je me ravirai que cela puisse vous être utile!

Le 14 janvier 1999.
Bonjour. Je vous tiens au courant de l'évolution de mes études. Je viens de passer le cap des 900! au fric du diable, plus précisément. Avec toujours autant de motivation. Il faut dire que d'être sur place, au Japon, ça rend bien service. Et le fait de pouvoir commencer à déchiffrer les textes dans leur environnement (les publicités, les panneaux indicateurs, etc...) motive encore plus. J'y passais 30 minutes par jour, j'en suis à au moins 2 heures tous les soirs, par plaisir. Sinon, j'ai eu beaucoup de difficultes pour les kanji associés aux sentiments (avec le composant coeur). Les images sont peut-être moins fortes et les significations plus abstraites... Pour ce qui est du composant «meute de chiens, meute de loups», je pense que (pour le moment...c'est à dire jusqu'à 900 kanji), «meute de chiens» est suffisant si on pense a la meute de chiens de chasse a cour. «chasse» peut être vu comme une «meute de chiens» qui doivent le respect de leur maitre («respect de l'ordre établi» en quelque sorte) et rester «collés» à leur maître lors du départ à la chasse. La «prise» peut être celle d'une «meute de chiens» de chasse à courre dont un, écolo, ramène des «fleurs», un autre, étourdi, est allé attraper la «dinde» du paysan d'à côté et le troisième, très fort, est allé attraper un «etc» pourtant en voie de disparition et protégé... Pour finir, un petit bug pour le kanji "embrasser". Il s'agit des composants «doigt» et «emballer» et pas «empaqueter», on risque d'oublier le serpent... Hubert Luce

Le 5 juillet 1999. Je suis presque arrivé au bout du livre. Seulement, dirais-je compte tenu de la rapidité du début. Seulement voilà, un calendrier hyper chargé, de nouvelles rencontres, et... plus guère de temps pour travailler mes kanjis. J'ai même laissé tomber pendant deux mois, faute de temps, non pas par lassitude. C'etait néanmoins un bon test pour vérifier mes souvenirs et l'efficacité de la méthode. il m'a suffi une relecture détaillée de l'ensemble pour me rafraichir la mémoire. J'ai très largement récupéré le même niveau d'il y a quelques temps. C'est donc que la méthode est efficace, il suffit de se prendre au jeu, c'est tout. Je me suis mis également a apprendre les prononciations, et là, la galère commence... Auriez-vous des conseils a ce propos?
Dans tous les cas, je souhaite que votre livre fonctionne. Je crois que je suis parvenu a vous faire de la pub, ca et la puisque certains de mon entourage ont commandé le livre. H.L.

 
En trois semaines, j'ai appris plus de kanji qu'en quatre ans ici à la faculté de japonais. Je pense réellement que votre ouvrage mériterait une bonne publicité car il constitue une petite révolution. Pour moi, en tout cas, c'est le moyen de passer d'un rejet complet par blocage devant une tâche trop grande, inaccessible et surtout inutile par suite d'oubli immédiat, à la possibilité non seulement de contrôle du sens des kanji mais surtout à leur non-oubli. Ce dernier point, vérifié sur 1,5 mois mérite d'etre confirmé sur le moyen et long terme. Suite à des contraintes professionnelles j'ai ralenti le mode d'apprentissage mais ai depassé les 500 en sus des 100-150 que je connaissais déjà. Je me suis permis de largement diffuser auprès de mes contacts japonais, de mon prof de japonais qui ne connaissait pas encore (Madame Higashi-maison des langues et cultures de grenoble, auteur de «Nihongo de hanashimashoo» de contacts parisiens japonisant et des ex-et actuels chercheurs CNRS au LIMMS de Tokyo. L'impact semble être immédiat, du moins auprès de ceux qui se sont déjà frottés aux kanji et ont forcément baissé les bras ou oublié après avoir appris...

PS: au 31 janvier, j'en suis à 1000 kanji, suivant la méthode, les contrôle parfaitement (du moins dans la limite de la méthode). Je ne ressens aucun phénomène de saturation, au contraire. Je n'ai pas le temps d'y consacrer tout le temps que je souhaiterais car je le fais en sus du travail, mais c'est une méthode super. Gilbert Reyne


Juin 1999. Voici 3 mois en arrière alors que mon amie repartait une nouvelle fois pour le Japon après avoir passé le mois de février dans notre doulce France, je cherchais systématiquement comme un fou sur ce moteur de recherche avec «Japon» comme unique critère avalant toutes les informations possibles. Puis l'ajout d'un signet sur les sites qui me paraissaient digne d'intérêt me permettait de revenir rapidement sur ce que j'avais reperé. En premier lieu j'avais visité votre site, l'avait remarqué comme étant intéressant mais pensais que l'apprentissage des Kanjis était un peu prématuré. Comme expliqué dans un de mes mails précédents et comme vous avez pu le constater j'ai changé ma façon de voir les choses. Luc Burgaud.
 

Juin 1999. Bonjour Yves,  ton livre est absolument génial ! Grâce à lui, toute la pube qui tombe dans ma boite aux lettre a trouvé une utilisation. Avant de la jeter à la poubelle, je l'utilise comme brouillon pour dessiner des kanjis.Elisabeth Piotelat.

 

Juin 1999. D'abord félicitation car j'ai trouvé tout cela trés interressant. ensuite une remarque : L'apprentissage par ordinateur ne semble pas une solution ? Présenté comme cela est on peut effectivement le pensé. Mais ce site (au contenu trés intéressant) n'utilise quasiment aucun avantage des présentation Internet et garde par contre pratiquement tous les défauts. Guillaume LIEKENS


Le 30 juillet 1999. Bonjour ! je suis eleve ingenieur en stage au Japon, j'ai recu votre livre il y a disons... 3 mois, et j'ai quelques petite remarques a faire a son sujet...

- tout d'abord, je pense qu'il ne s'adresse qu'a des personnes tres motivee par l'apprentissage des kanjis, ou des personnes qui ont vraiment du temps libre... disons qu'en fait, c'est l'apprentissage des kanjis lui meme qui s'adresse a ce genre de personne

- donc, motive au debut, j'ai lache prise rapidement pour plusieurs raisons, et je viens de m'y remettre depuis une semaine... bilan: pour l'instant tres positif. en arrivant ici, je n'avais que peu de connaissances, peut etre une
cinquantaine de kanjis simples... depuis une semaine... j'en ai appris 150 sans TROP de difficulte, mais avec un travail regulier... les fiches sont a faire IMMEDIATEMENT ! il en existe des tres bien ici, autour d'un anneau... parfait pour reviser dans le metro !

- pour la suite, on verra dans deux mois, quand je partirai, si j'ai tenu le coup... j'ai un objectif: 1000 kanjis. ca devrait le faire.

- pour la question de la prononciation, j'avoue que des fois c'est un peu embettant de ne pas pouvoir savoir... mais bon, d'un autre cote, on apprend tres vite comme ca, ca devient tres encouragent d'arriver a lire les pubs, bref
motivant ! je pense qu'en suite, si on mene une etude de la langue japonaise en parallele, les prononciations sont apprises naturellement, disons au moins les plus usitees...

- autre probleme: les mots formes de plusieurs kanjis... et comment on fait pour ceux la (yen a vraiment pas mal y parait...)

- donc voila une suggestion que je vous soumet pour une future edition peut etre: vous gardez la meme presentation, tout pareil nickel, mais pour chaque kanji, vous rajoutez, a l'ecart, separe, style "pour ceux qui n'en veulent", ou plutot, je dirais pour une deuxieme lecture, une fois que tous les kanjis auront
ete assimiles, un cadre avec la prononciation (les prononciations), et les exemples les plus habituels des mots que l'on peut former lorsque l'on associe le kanji a un autre, avec le numero du cadre dans lequel on peut trouver l'autre kanji... je ne sais pas moi... un peu a la maniere des posters des ecoles primaires au japon (je me suis procure ceux des 3 premieres annees... pas mal, mais trop rebutant pour un debutant comme moi, votre methode est beaucoup plus motivant, par contre, en deuxieme lecture, l'idee que j'enonce pourrait etre interessante...).

ou sinon, ecrivez carrement un deuxieme bouquin... voila... bilan tres positif pour l'instant: je tiens le coup. Bastien Raich
 

Juillet 1999. Bonjour,

Merci pour vos commentaires. Je suis le responsable du site de la Vitrine APO et, curieuse coincidence, un de vos clients lecteurs puisque j'ai reçu le Maniette en février dernier et que je suis rendu à 1400 caractères. J'ai dû interrompre momentanément mon étude des kanjis depuis quelques semaines mais quelle satisfaction de reconnaître tant de kanjis dans le Chinatown de Montréal et dans mes mangas! Je me propose de vous faire plus de commentaires une fois traversé le livre.

P.S. Je suis l'auteur d'un pile HyperCard (Macintosh) pour apprendre à compter en japonais. ftp://vitrine.ntic.org/pub/Documents/HyperCard/Japonais.sit

Salutations amicales,
Pierre-Julien Guay
Vitrine APO

Aoùt 1999. J'ai grandement apprécié les nombreux clins d'?il aux Japonais, l'humour et l'intelligence. J'ai eu un peu de difficulté avec des histoires trop spécifiques à la France comme le plan ORSEC (page 121), l'émission de télévision du cadre 563, l'ASSEDIC (cadre 885) et plusieurs autres. Il faut une très bonne culture générale pour apprécier et bien utiliser certains exemples (mythologie, littérature) mais ce furent des occasions d'améliorer ma culture personnelle.

Une autre difficulté, c'est la révision. Il n'y a pas beaucoup d'indications dans le livre. J'ai tenté d'utiliser la table de kanji manuscrits mais la qualité de l'impression laisse à désirer dans les première page. J'ai utilisé par exemple une ligne sur deux pages ou une colonne. La liste des mots clés peut difficilement être utilisée car elle contient tous les sens.  Finalement, ce que j'ai trouvé de mieux, c'est de prendre une série de 100 caractères à la suite, les réviser à partir du mot clé et noter mes échecs afin de revoir ou reconstruire mes images. À partir de mille kanji, j'ai commencé à feuilleter des mangas et je me suis surpris à comprendre beaucoup plus qu'auparavant (sans les furigana!) et à reconnaître des kanji dans leur contexte. C'est rare que je les oublie après ça. On dirait que cela les fixe dans mon esprit. C'est drôle comme souvent deux kanjis de sens semblable sont associés pour indiquer un sens.

Je reprends maintenant le travail pour terminer le dernier quart et je vous remercie d'avoir pris le temps de partager votre méthode et de préparer ce livre afin d'aider les francophones à traverser le mur des kanji. Pierre-Julien Guay
 

Vitrine APO
Septembre 1999.
Bonjour,

Merci pour votre envoi et votre e-mail. Je suis enchantée, cette méthode est extraordinaire par sa logique, son humour et son efficacité. En deux jours j'ai assimilé - et je crois que je les connais pour le restant de mes jours - les 105 premiers Kanji.

Un point de détail, je ne comprends pas bien pour le kanji "boîte mesure" ( Kanji 41) le commentaire dans la règle 2 : "Quand un trait coupe verticalement l'ensemble d'un caractère, il doit être tracé en dernier. Ce principe s'applique parfaitement pour mille, mais ne s'applique pas exactement pour boîte mesure ; disons que cette exception confirme la règle." D'après les indications données pour l'écriture de ce kanji de 4 traits, il semble que la barre verticale dans l'encadré du haut de la page 19 soit bien tracé en dernier comme pour le kanji mille page 18. Ce n'est qu'un point de détail...

Cordialement,
Michèle Corsange
michele.corsange @ wanadoo.fr

(Réponse: Le commentaire concerne le premier trait vertical, et non le second!)

 
Septembre 1999.

Merci pour votre superbe ouvrage. Il est très bien construit, c'est le livre que j'attendais depuis longtemps. Bien respectueusement.
Marcel Virginet, Professeur d'EPS et Aikido, Chassignolles (Indre).

Octobre 1999.

Découverte du livre
Je suis passioné par le Japonais et viens de découvrir " Les Kanjis dans la Tête " au hasard d'un surf tardif. Ton bouquin est impressionant. La trentaine de Kanjis proposés sont absolument et définitivement gravés dans ma mémoire. J'avais auparavant appris une centaine de Kanjis en essayant de mémoriser la forme comme on essayait jadis de retenir une poésie à l'école. Résultat de cette "ASSIMIL"ation ( si tu vois ce que je veux dire ..) : 1 semaine de relachement et de 100 je passais à 15 Kanjis ! Alors, de nouveau motivé et un peu vexé, je recommençais et rebelotte ! Overload please reset : Conclusion:mon pauvre cerveau est incapable d'imprimer de cette façon.. Quel dommage, quel gâchis de temps, quelle déception lorsque l'on est passionné. Jusqu'à ce jour : Subarashii desu ne.  Sisi !  Bilan : 10 jours que j'ai lu  les 30 kanjis : zéro fautes ! J'en rigole presque. Enfin bon. Plus que 1916 à apprendre..mais vu l'efficacité de la méthode, ça me donne la pêche et en bossant bien je devrais tomber la premiere centaine dans la semaine qui suivra la réception du bouquin ( Ah oui, je ne t'avais pas dit : mon chèque part demain ).Tiens au fait, je bosse dans l'électronique. Comment tu dessines : " Comparateur de phase à hystérésis ?"(*) Allez un p'tit Haïku pour la route :Furui ke ya / Kawa zu to biko mu / Mizu no oto ".

Quelques jours plus tard...
Excuses-moi, je ne t'ai pas répondu de suite, je suis pas mal pris en semaine et n'ai pas toujours le réflexe d'aller jetter 1 oeil dans ma boite. Ma femme t'a confirmé la réception du "Maniette" dès Lundi. C'est un très beau bouquin. Ce soir constitue une exception car en temps ordinaire ( depuis 3 jours ) je consacre 1h00 à l'écriture, l'apprentissage de nouveaux kanjis et la révision. Il est clair que la méthode est très efficace : le taux d'échec est vraiment faible quand je procède aux tests d'écriture. J'en suis à 70 aujourd'hui: ça va bien.Ce qui prend de plus en plus de temps ( remarque,là ça va encore ... ) c'est justement la partie révision : je commence à noircir des pages de kanjis après quoi je passe au contrôle; ceci dit c'est quand même drôlement agréable de pouvoir aligner quasiment une centaine d'idéogrammes sans forcer au bout de 3 jours...Ma première joie a été ce week-end de pouvoir déchiffrer instantanément, lors d'un bref reportage sur le Japon, le kanji " Clair " , lors d'un balayage rapide de caméra sur une inscription.
Or donc, je m'étais dit : " Allez ! Dès ma première centaine de Kanjis mémorisés, je fais 1 pause et je fais 1 point technique avec l'auteur; " ... Seulement voilà : j'y suis ! J'en ai appris plus en 5 jours qu'en 3 ans..En conséquence, je préfère ne plus me fixer d'objectif. Je te rappelle de temps en temps pour faire un point.

PS: Comment j'ai trouvé le Maniette ?
J'ai vraiment trouvé facilement ton bouquin. Je suis abonné depuis 1 mois et demi environ à Internet. Le premier mot mis dans la moulinette du moteur de recherche a été «Kanji». Quelques secondes + tard, une ligne apparaissait " Les Kanjis dans la tête ". Clic sur le bidule et hop ! Bouquin, une quinzaine de Kanjis à tester, un espace lecteurs ( dis-donc, y'en a un je sais pas  ce qui s'est passé mais "y t'a pas à la bonne ".C'est bizarre car à mon sens apprendre le Japonais implique quelque part un état d'esprit difficilement compatible avec autant d'agressivité naturelle .. enfin bref ). La petite histoire : j'ai imprimé toutes les kanjis proposés avant de tomber sur le lien "Commander le livre ".  Là je me suis dit : " Leduc : t'es plus étanche ".

Allez, j'y retourne! A Plus!  Thierry Leduc

Décembre 1999. Compliments pour le travail d'adaptation effectué sur "Remembering the kanjii". J'ai employé (avec des résultats qui m'étonnent encore), "Rem. the Hiragana" et "Rem. the Katakana", et j'allais me lancer dans le livre de J. Heisig, quand je suis tombé sur l'édition francophone, les 'kanjii dans la tête'.

J'en suis à un peu plus de 250 caractères réellement mémorisés : "réellement mémorisés", car je consacre la majorité de mon temps libre à apprendre la grammaire et le vocabulaire du japonais, ce qui ne me laissent guère que quelques heures de temps à autre pour employer la méthode. Et chaque fois que j'y reviens, le taux de "perte" n'excède pas 2 ou 3 caractères sur 100 (et il est souvent de ... zéro caractères perdus).

Toutefois, je suis parfois obligé de substituer des histoires à d'autres histoires; par exemple, le caractère "calendrier" : dans mon imagerie mentale, il est bien plus facile de superposer à ce caractère, la vision d'un Géant avec les pieds dans l'eau qui se déplace vers sa FALAISE pour décrocher des DEUX ARBRES qui leur servent de support, chaque JOUR les feuilles d'un éphéméride à la dimension du dit géant. Le fait de personnaliser certains caractères et de ne pas mémoriser l'histoire proposée présente-t-elle un risque pour la suite de l'étude ?

R: La seule difficulté que je vois est la présence de ce géant. Car il  vient un géant plus tard dans le livre, et il peut être gênant de l'introduire dans cette association. Pour vous qui avez créé l'assocation je ne pense pas qu'il y ait de problème.  Le problème peut surgir dans le cas d'un kanji rarement employé, car alors on se rend  compte, au moment de l'écrire, que c'est vraiment la seule mémoire que l'on a de la  saynete créée qui sert de soutien. Parfois certaines histoires sont «à tiroirs» et on les retrouve plus loin dans le livre. Il y a donc intérêt à ne pas trop s'éloigner, mais si vous le faites ponctuellement cela ne vous occasionnera pas de gêne trop grande.
RR: Depuis que j'ai lu votre mail, les feuilles de mon calendrier tombent toutes seules, et j'ai du mal à me voir ce qu'un géant pourrait bien venir faire par là. Surtout qu'avec toute cette eau, un rhume est vite arrivé.
 En tous les cas, merci pour votre méthode, je ne sais si je convertirais ce que j'y apprends en connaissances opérationnelles de japonais, en tous les cas, c'est un excellent exercice cérébral (j'ai pas envie de me mettre aux kanjii croisés pour l'instant). Thierry Tropée


Janvier 2000.  Bonjour, je suis un de vos souscripteurs du livre «Les kanji dans la tête.» Après un an je peux vous confirmer que cette méthode est bien la meilleure que j'aie vue pour se rappeler les Kanji.  Je ferais quand même quelques remarques quant à votre approche qui est de coller davantage a l'étymologie qu'au Japonais vivant (sens plus ou peu utilises, etc) ce qui fait que pour certains Kanji appris avec votre livre, il a fallu par la suite les reapprendre avec le sens réellement utilisé par les Japonais... mais cela étant dit, la méthode par elle-même est vraiment formidable.   David MISTOUFLET

Le 20 janvier 2000 . Bonjour, j'ai découvert votre livre par Internet - je cherchais des tables des  hiragana et des katakana, et voilà que je me suis mise à apprendre les kanji  aussi sec. Les deux premiers chapitres m'ont laissée sur ma faim, aussi je  suis allée acheter votre livre à la librairie Vents du Sud d'Aix en Provence. J'ai acheté le dernier des trois exemplaires que vous y aviez déposés, aussi  je crois que vous devriez leur en ramener si vous laissez cette librairie  dans votre liste - et il serait dommage de l'enlever, car j'ai pu ainsi trouver votre livre tout près de chez moi.

Sans l'avoir fini (j'en suis bien loin encore !), je vous remercie déjà  d'avoir créé ce livre. Il commence à intéresser mes amis qui, eux, suivent  des cours de japonais. Et j'espère qu'il finira par être connu.

Cependant, je ne suis pas de votre avis lorsque vous jugez l'ordinateur être  un mauvais support d'apprentissage. Il a été pour moi très agréable  d'apprendre les deux premiers chapitres avec une présentation aussi aérée  qu'à raison d'un kanji par page. Cela permet de plus de pouvoir se concentrer sur un seul caractère à la fois. Mais j'imagine que vous n'avez pas trop  envie de mettre tout le fruit de votre travail sur le réseau et je vous  comprends. Bonne continuation ! Marianne Hodoul

R: C'est sans doute différent pour 30 et 2000 caractères, et tout le monde n'a pas un ordinateur... Et on peut lire un livre couché dans l'herbe ou allongé sur un sofa...
Le 9 février 2000. Le livre est arrivé, Il est magnifique. La couverture est très belle. En ce qui concerne la présentation du contenu j'aurais quelques suggestions, si vous me le permettez (uniquement sur la typo).   Yannis Haralambous (créateur du système Oméga).
 
Le 9 février 2000.  je suis au cadre 30 de votre livre, qui est vraiment très bon. je suis alle au Japon cet hiver dans une famille, pendant quinze jours, après deux ans d'intérêt pour ce pays, et compte bien y aller pour plus longtemps. Je me suis interrogé parfois sur ces "inversions culturelles incomprehensibles", comme le fait qu'ils lisent les livres en les commencant par le dos, certaines phrases sont écrites de droite à gauche ... ils mangent le fromage au début. etc. [...] Merci encore pour votre livre, car il dépasse le cadre de l'apprentissage des Kanji, et toutes vos remarques personnelles, nous font encore plus apprendre tel ou tel. Vous ne prenez pas parti, vous êtes modéré dans vos propos, on distingue que vous avez de l'expérience, alors la faire partager aux plus jeunes, c'est assurément un plus.
Vu sa qualité, je ne vois pas, quand j'aurai terminé celui-ci, comment je pourrai satisfaire ma quête d'apprentissage si vous ne faites pas le deuxieme volume. Cela doit être dur pour vous, mais quelle satisfaction cela serait pour nous, les lecteurs ! L'explication quand vous décrivez certains Kanji me parait tellement évidente, que je me demande si ce n'est pas comme cela qu'ils ont  été créés! Cordialement.   SAINT-DIZIER Stéphane
Le 10 février 2000.  Cher Monsieur, j'ai visité votre site sur les kanji et trouve les commentaires d'écriture
intéressants et susceptibles de faciliter l'apprentissage. Cependant, je regrette effectivement que la prononciation phonétique ne soit pas proposée à côté de la traduction des kanji. Je trouve que cela demande moins d'effort d'essayer de mémoriser dès le début les deux ensemble plutôt que d'apprendre l'écriture et la traduction et de devoir ensuite y coller une prononciation, à rechercher à chaque fois (tâche fastidieuse vu le nombre de kanji repris). Dans une prochaine édition du manuel, ce serait peut-être recommandable de la juxtaposer. Cela laisserait le choix à chacun du nombre d'étapes. Imaginez que l'on apprenne l'alphabet aux enfants en commençant par la calligraphie et qu'ensuite seulement, on leur apprenne à prononcer les lettres. Je crois qu'ils ne s'y retrouveraient pas et éprouveraient encore plus de difficultés. Objectivement, Elisabeth Leloup
R: Il s'agit ici d'apprendre un système graphique. La prononciation doit s'apprendre par la suite, par la lecture. La référence aux enfants n'est peut-être pas la meilleure car il n'apprennent pas de la même façon que les adultes. Par ailleurs il n'est pas question d'enseigner uniquement l'écriture, mais bien l'écriture et la signification.  Je ne comprends pas bien l'objet de la remarque. Voir le commentaire que je fais au sujet des prononciations.
Le 12 mars 2000. Cher Monsieur, merci pour votre beau travail. Jean-François Demeure

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